Conférence-manifeste, Aller sans savoir où est un écrit sur le théâtre écrit pour le théâtre, un spectacle sur une manière d’écrire des spectacles, une « conférence sur l’acte créatif, phagocytée par l’urgence du monde, un journal de création dont les pages – en creux – disent, aussi, la vie qui passe ».
Under Bright Light est une comédie bouffonne inspirée du mythe de Sisyphe, dans un entrepôt situé quelque part dans un enfer de dessin animé, tel un jeu vidéo impétueux en boucle brisée. Problème après problème, erreur après erreur, mouvement subversif après mouvement subversif, la machine tourne mal, sombre dans le chaos, se réinvente et se transforme de manière inattendue.
Conférence-manifeste, Aller sans savoir où est un écrit sur le théâtre écrit pour le théâtre, un spectacle sur une manière d’écrire des spectacles, une « conférence sur l’acte créatif, phagocytée par l’urgence du monde, un journal de création dont les pages – en creux – disent, aussi, la vie qui passe ».
Imaginez une pièce de théâtre qui prend l’un des plus célèbres et puissants romans de la littérature mondiale et y incorpore une question controversée du débat contemporain, galvanisée par l’activisme révolutionnaire queer : l’abolition de la famille.
Casques aux oreilles, le public découvre le modèle organisationnel, les scénographies, l’histoire et certains enjeux du centre commercial, foyer de la consommation de masse et promesse d’accession au bonheur.
Dans Take Care of Yourself, Marc Oosterhoff se confronte au danger dans un solo sur le risque : jusqu’où pousser les limites de ce qu’on fait et de ce que l’on est ?
En première partie, nous vous avons réservé une surprise suisse extraite de l'hilarant spectacle Man On The Spoon : un véritable concert de petites cuillères réalisé et interprété par le plus suisse des Toulousains : Alexandre Bordier !
Conférence de choses est une déambulation au cœur du savoir encyclopédique participatif contemporain, révélant à la fois les vastes étendues qu’il recouvre et quelques-uns des improbables chemins qui le traversent.
Dans un espace nu à l’exception de deux enceintes, les acteurs n’apparaissent plus qu’à travers quelques lettres blanches qui défilent fort modestement, qui racontent et commentent la fabrication de la pièce en train de se faire.
Tous les grands chantiers contemporains sont traversés par les mêmes problématiques : retards de livraison et ajustements de coûts, relations d’interdépendance complexes voire conflits d’intérêts entre acteurs publics et privés.
Sans nostalgie et sans accessoire, le Collectif BPM ressuscite ces témoins éloquents de notre passé. Une savante partition qui nous emporte dans un tourbillon de rires, d’émotions et de réflexions.
